Actus
Séminaires
- 29 - 06 - 2023 Séminaire de sensibilisation aux violences sexuelles et sexistes
- 15 - 06 - 2023 Séminaire annulé
- 01 - 06 - 2023 La microscopie optique au service de l’analyse des matériaux anciens
- 11 - 05 - 2023 A taste of flavour physic
- 04 - 05 - 2023 SuperChooz Exploration: Reactor & Solar Neutrino Physics
Offres d'emplois
Vous recherchez un stage ? Les propositions de stages se trouvent sous l'onglet "Enseignement".
Evénements
- 24 - 09 - 2023 18th International Conference on the Chemistry and Migration Behaviour of Actinides and Fission Products in the Geosphere
- 10 - 07 - 2023 Meeting GDR « Détecteurs et Instrumentations pour les 2 Infinis » (DI2I)
- 04 - 07 - 2023 Journées thématiques du Réseau Semi-conducteurs IN2P3-IRFU 2023 : Les détecteurs semi-conducteurs dans l'espace
- 19 - 06 - 2023 IRN Neutrino meeting
- 05 - 06 - 2023 Conférence XeSAT2023
- 04 - 06 - 2023 QCD Master Class 2023
Prix Young Investigator - ISTR2023 - IAEA
Arthur Bongrand, post-doctorant dans l'équipe Prisma à Subatech, a obtenu le prix du jeune chercheur pour la présentation de son poster dans le cadre de l'International Symposium on Trends in Radiopharmaceuticals (#ISTR2023) organisé par l’IAEA.
Son poster intitulé « Latest development of α emitter imaging and quantification on a large Field Of View » porte sur l'intérêt d’utiliser l'autoradiographie pour le développement des radiopharmaceutiques α.
Projet_BePAT
Les travaux de Keerthana Kamalakannan primés à l’ARCEBS 2023
Keerthana Kamalakannan a obtenu le prix de la meilleure présentation orale à la Fifth International Conference on Application of RadiotraCers and Energetic Beams in Sciences (ARCEBS-2023) qui se tenait du 31 janvier au 5 février à Purulia en Inde.
Ce prix lui a été décerné pour sa présentation intitulée « Developement of a time-of-flight mass spectrometer with a laser desorption/ionization source ».
Doctorante au sein du laboratoire Subatech, Keerthana mène depuis 2020 une thèse financée par le GIP ARRONAX. Ses travaux s’inscrivent dans le cadre du projet SMILES (Séparation en Masse couplée à l’Ionisation Laser pour des applications Environnementales et en Santé) et visent plus particulièrement à concevoir et développer un spectromètre de masse à temps de vol (TOF-MS) avec une source d’ions à désorption-ionisation laser (LDI).
Keerthana soutiendra sa thèse en décembre 2023.
Les promesses des réacteurs nucléaires « à sels fondus »
Le laboratoire Subatech poursuit des recherches sur un nouveau type de réacteur nucléaire « de 4ème génération », le réacteur « à sels fondus » (RSF) qui pourrait offrir plusieurs avantages : sûreté accrue, meilleure gestion des déchets radioactifs… Subatech participe notamment à différents projets dédiés à ces RSF.
Quel réacteur nucléaire pour demain ?
Quelle technologie sera la plus à même de contribuer à l’approvisionnement en énergie du pays, tout en offrant un maximum de garanties en termes de sûreté comme de gestion des déchets ? À l’heure où la relance de la filière nucléaire est à l’ordre du jour, ces questions se posent avec acuité.
Un modèle semble tenir la corde aujourd’hui : le réacteur « à sels fondus » (RSF). Une technologie sur laquelle travaille, depuis 2015, Lydie Giot, enseignante-chercheur au laboratoire Subatech, placé sous la triple tutelle du CNRS, de Nantes Université et d’IMT Atlantique. Spécialiste des questions de sûreté nucléaire liées à la puissance résiduelle, Lydie Giot est aussi experte auprès de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique) et de la NEA (Agence pour l’Energie Nucléaire de l’OCDE).
Lydie Giot, enseignante-chercheuse à Subatech
Ce RSF appartient à la « 4ème génération » des réacteurs nucléaires. Celle qui devrait succéder aux modèles graphite/gaz (1ère génération, en cours de démantèlement), aux réacteurs à eau pressurisée ou bouillante (2ème génération, la plus répandue dans le monde), et aux EPR (3ème génération - en réalité, une évolution de la précédente).
« Ce concept de « 4ème génération », qui marque une vraie rupture technologique, n’est pas nouveau, indique Lydie Giot. Il a été imaginé en laboratoire dès les années 1960 aux Etats-Unis, mais laissé de côté faute de financement. » Principale caractéristique de ce type de réacteur : le combustible est dissous dans des sels fondus. Différentes variantes sont à l’étude, selon le type de sel (fluorure, chlorure), le recours à un élément modérateur comme le graphite (modèle « à neutrons thermiques ») ou non (réacteur « à neutrons rapides »), ou le combustible utilisé (235U, plutonium, 233U ou 241Am …).
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